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Produits de santé défectueux
Coupe-faim (Isoméride, Mediator), Dépakine, Androcur, Rupture de cathéter, …
Coupe-faim (Isoméride, Mediator), Dépakine, Androcur, Rupture de cathéter, …
Produits de santé défectueux
Coupe-faim (Isoméride, Mediator), Dépakine, Androcur, Rupture de cathéter, ..
Dans le code de la Santé Publique, il est question de produits à finalité sanitaire destinés à l’homme, plus communément nommés produits de santé.
Il s’agit principalement :
Le défaut du produit de santé peut être un défaut de fabrication, un défaut d’évaluation des risques (le médicament s’avère dangereux pour la santé), un défaut d’information (la notice doit informer les patients des effets indésirables et les professionnels doivent être informés par le résumé des caractéristiques du produit qu’ils peuvent trouver dans le VIDAL.)
Un produit de santé est défectueux dès lors qu’il n’offre pas la sécurité à laquelle on peut légitimement s’attendre ; peu importe qu’il ait été fabriqué dans les règles de l’art et qu’il ait reçu une autorisation de mise sur le marché.
Si vous avez été victime d’un dommage en lien avec un produit de santé, il conviendra de prouver :
La plupart du temps, il sera nécessaire d’avoir recours à une expertise médicale car le défaut du produit doit être démontré à l’aide de données scientifiques.
Spécialisés dans les contentieux concernant les principaux scandales sanitaires des dernières années (MEDIATOR, ISOMERIDE, DEPAKINE, ANDROCUR, PILULE, GARDASIL, vaccination, … etc.), nous vous conseillerons sur les différentes procédures possibles, et nous vous accompagnerons à tous les stades du processus amiable ou judiciaire.
Nous mettrons tout en œuvre pour vous permettre d’obtenir le statut de victime, identifier les responsables, afin de les voir condamner à vous verser une indemnisation à la hauteur de vos préjudices.
À ce jour, nous défendons 2500 victimes du Mediator ainsi que l’AVIM, l’Association d’Aide aux Victimes de l’Isoméride et du Mediator.
Ce médicament de la famille des amphétamines est resté commercialisé en France pendant plus de 30 ans (1976 à 2009). La France sera l’un des derniers pays à le retirer malgré plusieurs cas rapportés de valvulopathie et un retrait effectif dans plusieurs pays (Espagne, Grèce, Italie, Luxembourg, Suisse) depuis quelques années.
À ce jour, nous défendons 45 victimes de la Dépakine ainsi que leur famille.
Depuis le 1er juillet 2017, les victimes de la Dépakine (valproate de sodium) peuvent désormais être indemnisées suite à l’entrée en vigueur d’un fonds d’indemnisation. Les experts recensent, à ce jour, plus de 30.000 enfants exposés in utero au valproate de sodium.
Votre enfant est victime d’un handicap lourd suite à la prise de Dépakine ? Consultez notre dossier.
À ce jour, nous défendons 350 victimes de la pilule, ainsi que l’AVEP, l’Association de Victimes d’Embolie Pulmonaire et d’AVC en lien avec la prise d’un contraceptif hormonal.
La plupart des pilules associent deux types d’hormones identiques à celles produites par la femme : l’œstrogène et la progestérone. La pilule remplace le cycle naturel de la femme par un cycle artificiel. Les pilules de 3ème et 4ème génération exposent à un sur-risque de phlébite, d’embolie pulmonaire et d’AVC, en comparaison avec les pilules de 1ère et 2ème génération, sans aucun avantage en termes de tolérance clinique.
À ce jour, nous défendons 150 victimes du Gardasil.
Disponible en France depuis novembre 2006, le vaccin Gardasil est indiqué pour la prévention du cancer du col de l’utérus et des verrues génitales. Plusieurs jeunes filles ayant été vaccinées avec le Gardasil ont présentés dans les suites des pathologies graves et invalidantes, telles que des maladies auto-immunes dont la sclérose en plaques, des pathologies du système nerveux central, un syndrome de Guillain-barré, … etc.
Vous êtes victime de complications suite à l’injection du vaccin Gardasil ? consultez notre dossier